Qu'est-ce que la lutte antiparasitaire intégrée et la lutte antiparasitaire intégrée

Si tout le monde avait suivi cette recommandation à l'époque, elle n'aurait pas dû être rendue obligatoire aujourd'hui :
Objectifs et destinataires de la lutte antiparasitaire intégrée
La lutte antiparasitaire intégrée, qui comprend également la lutte antiparasitaire intégrée, a pour objectif principal d'utiliser le moins de pesticides possible dans la lutte antiparasitaire. En 2009, le Parlement européen a adopté la soi-disant Directive sur la protection des végétaux dans laquelle les États membres étaient tenus de prendre toutes les mesures nécessaires pour à une protection des cultures avec peu de pesticides et utilisation préférentielle de méthodes non chimiques soutenir financièrement.
C'est exactement ce qui s'est passé dans la nouvelle version de la loi allemande sur la protection des végétaux (loi pour la protection des plantes cultivées), entrée en vigueur le 14 février 2012. Selon cela, les principes de la lutte intégrée contre les ravageurs doivent être observés par tous, non seulement par les agriculteurs, mais aussi par les propriétaires de jardins.

La protection des plantes dans les jardins familiaux et familiaux se voit attribuer un statut différent de celui de la culture commerciale, ce qui est évident du fait que la Pesticidesqui sont approuvés pour la culture commerciale ne sont généralement plus accessibles aux jardiniers familiaux et familiaux. Il ne peut utiliser que des pesticides expressément approuvés pour les jardins familiaux et familiaux. Parce que le jardinier amateur ne gagne pas sa vie en cultivant ses produits, il peut donc réagir plus calmement à une infestation d'organismes nuisibles.
Principes de

lutte intégrée contre les nuisibles
La lutte antiparasitaire intégrée est en fait basée sur le jardinage, ce qui était une évidence avant que de grandes quantités de produits chimiques ne soient censées faciliter le travail du jardinier. Jusqu'à ce que cette chimie menace la santé de la population. Aujourd'hui, une tentative est en cours pour inverser ce prétendu progrès. A l'ère préchimique, la culture régulière incluait naturellement aussi la protection des végétaux, qui reposait déjà à l'époque sur les principes de la protection intégrée des végétaux :
Une culture caractérisée par des connaissances et des auxiliaires non chimiques est d'abord préparée professionnellement :

• Le sol est constamment entretenu, correctement préparé pour la culture prévue et fertilisé pour renforcer les plantes.
• Si le lit de semence est bien mis en place, un est fait avant le semis ou la plantation Contrôle de cannabis.
• La culture est planifiée sur une plus longue période, en tenant compte de la rotation des cultures la plus variée possible ou en culture mixte.
• Un emplacement approprié est choisi pour chaque plante qui répond de manière optimale à ses besoins.
• Au sein de chaque type de plante, on sélectionne la variété la moins susceptible d'être infestée de parasites.

Cela peut éventuellement signifie utiliser des variétés résistantes ou des variétés tolérantes aux altérations, sinon des semences standard ou du matériel de plantation ou semences ou matériel de plantation certifiés appliqués.

Règles de culture
La culture suivante est également soumise à certaines conditions

Règles:

• Si possible et bénéfique pour la culture respective, un sous-ensemencement est planté.
• Les graines sont semées au bon moment, à la bonne densité et avec la bonne technique de plantation.
• Le travail du sol conservateur est au premier plan - aucun labour n'est utilisé ici, les outils de travail du sol non tournant laissent en grande partie le sol dans sa propre structure.
• Des mesures telles que le semis direct et l'élagage sont utilisées.
• Une fertilisation organique ou minérale équilibrée ou une fertilisation est utilisée pour favoriser la croissance. Le chaulage, des méthodes éprouvées d'irrigation et de drainage sont utilisées.

Une approche prudente est adoptée contre la propagation des organismes nuisibles :

• D'abord par des mesures d'hygiène telles que le nettoyage régulier des outils et machines de jardin.
• Les organismes utiles importants sont protégés et promus. Cela peut à son tour passer par des mesures de protection des plantes adaptées, mais aussi par l'utilisation d'infrastructures écologiques au milieu ou en bordure de la zone cultivée.
• Si des parasites apparaissent, tous les éléments biologiques, physiques ou autres imaginables et durables seront utilisés en premier. des méthodes non chimiques sont utilisées avec lesquelles un résultat satisfaisant dans la lutte contre les organismes nuisibles peut être obtenu pourrait partir.

Il peut s'agir initialement de diverses mesures de lutte directe telles que l'élagage ou l'élimination des parties malades de la plante. Les mesures qui ont un effet direct comprennent également le piégeage et l'utilisation de filets de protection des cultures, de panneaux de colle colorée ou de pièges à attractifs.

• L'étape suivante est la protection biologique des plantes, c'est-à-dire l'utilisation d'insectes utiles. Certains prédateurs ou parasites d'un animal nuisible ou antagonistes des agents pathogènes qui propagent un champignon peuvent être utilisés ici.

La chimie en dernier recours
Ce n'est que lorsque tous les autres moyens ont échoué que la lutte antiparasitaire intégrée prévoit l'utilisation de pesticides. Cependant, très prudent et non sans connaissances spécialisées :

• Les produits phytopharmaceutiques utilisés doivent être sélectionnés le plus spécifiquement possible pour les espèces cibles; de manière optimale, on utilise des produits uniquement spécifiques à l'individu ravageur nuire et en aucun cas affecter les organismes utiles.
• Il est toujours préférable d'utiliser le pesticide qui a le moins d'impact sur l'environnement, la santé humaine et l'équilibre naturel.
• Avant de prendre des mesures de lutte chimique contre les ravageurs, des procédures de pronostic doivent être mises en œuvre qui fixent certains seuils de contrôle ou Déterminer les seuils de dommages afin que la quantité de produits chimiques introduits soit réduite au minimum.

Si le jardinier amateur opte pour une gestion intégrée des nuisibles, il en bénéficie en termes de santé et de charge de travail: Lutte biologique contre les parasites z. B. non seulement soulage l'environnement, mais installe également des insectes utiles de façon permanente dans l'habitat affecté. A long terme, cela se traduit par un gain de temps considérable pour le jardinier, car la relation entre prédateurs et proies se régule automatiquement sur le long terme.
La conclusion des éditeurs
Le fait que les jardiniers amateurs et les jardiniers associés pratiquent une gestion intégrée des nuisibles est plus important pour tous ceux qui vivent en Allemagne que beaucoup ne le pensent: celui des jardiniers privés les superficies cultivées représentent un total incroyable de 680 000 hectares - toutes de petites superficies avec des voisins directs, chaque erreur de fertilisation et de protection des plantes les affecte aussi Voisins. Ces nuisances sont donc potentialisées sur de grandes surfaces, ce qui a un impact considérable sur l'environnement.
Il ne s'agit pas de la réticence des individus à se comporter de manière à ce que l'environnement n'en souffre pas, mais bien plus souvent du fait qu'un Le jardinier amateur ou le jardinier associé veut effectivement se comporter de manière respectueuse de l'environnement, mais jette par-dessus bord toute bonne intention en cas de dommage et recourir au club de la chimie - si possible, en utilisant des moyens anciens qui ne sont plus approuvés et qui sont souvent considérés comme plus efficaces volonté. Non seulement cela peut avoir des conséquences extrêmement désagréables pour votre propre santé, mais les vieux stocks ont souvent considérablement augmenté leur potentiel de risque au fil du temps.
Elle est également interdite et peut entraîner des amendes désagréables si elle est constatée lors d'un contrôle ou si un voisin ne veut pas simplement prendre la douche empoisonnée. À terme, cela pourrait même conduire au fait que la protection des végétaux n'est plus possible du tout parce que la Les ravageurs résistent à tous les agents chimiques, mais non plus aux agents naturels réagir.